Laurence D. Fink, the Lawrence of financial Mecca

Le titre, en anglais sonne bien, il dit tout de ce qu’est BlackRock, une grosse machine qui tient comme une pellicule de graisse sur une casserole, car en fait si on regarde bien, on parle de gros chiffres comme le maire de Beverly Hills parlerait de la fortune de ses habitants avec un très bon système de surveillance, caméras, écoutes, services, pour rassurer un peu tout ce beau monde après avoir créé la pagaille avec la peur, le crash de 2007/2008. Si tu laches un gang de voyous dans Beverly Hills, que font les habitants? Ils se réassurent, comme le peuple avec le covid-19. Il y a un “pattern” dans le fonctionnement des aspects sécuritaires et de la finance:

  1. Le crash financier ou sanitaire qui créée la peur
  2. La société de conseil qui apporte des solutions
  3. La croissance rapide de cette société avec un réseau de “soldats” zélateurs, comme une mafia
  4. La dominance de cette société par un effet de vitrine placardée de posters alors qu’en fait, la boutique est vide, c’est une société écran
  5. L’influence de cette société écran pour gagner des marchés et orienter les politiques nationales.

Quand on analyse le parcours de Larry Fink, on se retrouve au coeur de la révolution française. En 1775, la révolution américaine commence, dans laquelle la monarchie française va endetter la France au point de fragiliser le pouvoir. Peu de temps avant, en 1770, Louis XVI épouse Marie-Antoinette dans une alliance de pouvoirs entre la France et l’Autriche contre la Grande Bretagne et la Prusse faisant suite à la Révolution Diplomatique de 1756. La guerre de sept ans qui eu lieu de 1756 à 1763 conduira à la disparition de l’empire colonial français en Amérique du Nord, une opération qui débuta en 1750 à Williamsburg, en Virginie, un état américain du Commonwealth. Cette année là, dans la Taverne de Raleigh, six étudiants de l’université de William & Mary créèrent le Flat Hat Club avec comme motto “Fraternitas, Humanitas, et Cognitio”. Thomas Jefferson était membre de ce club. La Phi Beta Kappa Society a été créée dans cette même taverne le 5 décembre 1776. Il s’agit aujourd’hui de la plus ancienne et de la plus prestigieuse société d’étudiants encore en activité.

“Etudiant” est le mot qu’il faut retenir dans cette institution, puisque Larry Fink est membre de la Kappa Beta Phi Society, dont les lettres sont inversées délibérément pour signifier l’exacte contraire de la Phi Beta Kappa Society. La Kappa Beta Phi, ce sont toutes les élites de Wall street synthétisées dans un fanzine de bandes dessinées à l’humour plutôt noir, comme BlackRock. Le chapitre Wall Street de Kappa Beta Phi a été créé en 1929, juste avant le crash du marché boursier et c’est le seul chapitre qui survive encore aujourd’hui. Si on ramène le rôle de cette société à ses origines de moquerie, beuveries, corruption de jeunes et futures élites, on voit que cette société a joué un rôle mafieux presque à son origine. L’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, fait partie de cette même organisation.

La société informatique qui fait la synthèse de ces deux sociétés, c’est le logiciel Aladdin de BlackRock, le monde étudiant, plein d’espoirs et le monde des élites, plein de cynisme. Quand Aladdin frotte la lampe merveilleuse, le génie apparaît pour exhausser ses voeux. Aladdin signifie “élévation de la religion” et c’est là tout le dilemme de cette puissance financière, la recherche d’une légitimité qui se forge par toutes sortes de pressions, de corruptions, d’assassinats, et de manipulations diverses de l’opinion pour que “l’élévation de la religion” passe par la finance. C’est l’argent roi qui veut jouer au dieu, la vie et la mort des peuples, des individus, des élites, des personnalités publiques que l’on montre en pâture. C’est l’infantilisme des foules, leur bêtise, leur idiotie, leurs peurs, leurs espoirs manipulés par la religion.

Gouverner les peuples est chose facile quand les élites sont gouvernées et c’est à cela que BlackRock s’est employé pour accroître son portefeuille, faire croire à l’élite de ses clients que BlackRock a la capacité à prévoir l’avenir de la finance pour mieux la gérer. Plutôt que prévoir, BlackRock a décidé d’agir en amont en projetant loin devant les décisions futures et pour cela, la monarchie anglaise replace dans le tableau la légitimité jamais obtenue, un William et une Kate juive pour jouer le rôle de Mary, la Theodora de Ravenne, celle, sous la coupole, par qui le sang donne les monarques. La monarchie, toujours en quête de se réinventer, a mis en BlackRock le nom de ses ambitions industrielles, l’Afrique des matières premières et l’Amérique des urnes. BlackRock y a ajouté le déterminisme de faire pression sur le destin.

Laurence D. Fink est un looser qui a voulu se racheter et comme Marilyn Monroe avec les diamants, il l’a fait à n’importe quel prix. Dans le “sauve qui peut”, la monarchie anglaise a reconnu son apôtre, la brebis égarée, la star montante, l’aventurier. Le reste est histoire. Né à Van Nuys où Marilyn Monroe à fait ses débuts, le destin de l’homme est comme un radeau à la dérive dans le sillon de l’armada anglaise. Une armada puissante, armée, ingénieuse, mais surtout une armée sans remords. Là où les nobles avaient parfois un code de guerre, cette armée là prend les civils en otages. BlackRock en fait, c’est du spectacle, comme les seins nus d’une femme à la proue d’un bateau.

The French are glad to die for love
They delight in fighting duels
But I prefer a man who lives
And gives expensive jewels
A kiss on the hand
May be quite continental
But diamonds are a girl’s best friend

A kiss may be grand
But it won’t pay the rental
On your humble flat
Or help you at the automat

Men grow cold
As girls grow old
And we all lose our charms in the end

But square-cut or pear-shaped
These rocks don’t loose their shape
Diamonds are a girl’s best friend

Tiffany’s
Cartier
Black Starr
Frost Gorham
Talk to me Harry Winston
Tell me all about it

There may come a time
When a lass needs a lawyer
But diamonds are a girl’s best friend

There may come a time
When a hard-boiled employer
Thinks you’re awful nice
But get that ice or else no dice

He’s your guy
When stocks are high
But beware when they start to descend

It’s then that those louses
Go back to their spouses
Diamonds are a girl’s best friend

I’ve heard of affairs
That are strictly platonic
But diamonds are a girl’s best friend

And I think affairs
That you must keep liaisonic
Are better bets
If little pets get big baguettes

Time rolls on
And youth is gone
And you can’t straighten up when you bend

But stiff back
Or stiff knees
You stand straight at Tiffany’s

Diamonds
Diamonds
I don’t mean rhinestones
But diamonds are a girl’s best
Best friend

Si cette chanson de Marilyn Monroe n’était pas une déclaration de guerre économique sur la France, c’est sans aucun doute une caricature digne d’un fanzine étudiant de Kappa Beta Phi. De tout cela, ce qu’il faudra sans doute retenir est le “sub rosa“, le symbole du secret, mais aussi le symbole du parti socialiste français par qui le libéralisme à trouvé toutes sortes d’ouvertures. La France est devenue une succursale de l’Angleterre dont l’antre de la finance est devenu le temple, la prison, la nouvelle bastille. Hors ce sont ces sociétés secrètes qui ont fait les révolutions pour assujettir la France à l’Angleterre. Qui libèrera la France maintenant?

Mon opinion à moi, c’est que la monarchie anglaise est à l’image d’Hérode, une monarchie sans devenir. Elle meurt et commet des erreurs dans lesquelles les peuples ont déjà connu le chaos, la crise de 2008, le covid-19, quoi d’autre? Les variants du covid-19 porte une lettre de l’alphabet Grec comme nom et à mesure que les variants passent, ils comptent les morts comme des fossoyeurs comptables de cette démographie qu’ils préparent, toutes races au taquet pour marcher avec la république vers une démocratie qui n’existe pas. La Mecque, c’est un peu comme les abattoirs de Temple Grandin, une série de cercles pour cacher l’ultime dessein de tuer la bête comme Elisabeth un gâteau, poignard au poing, comme après une chasse. Ces gens là se croient supérieurs, mais ce qu’ils sont est bien différent. Ils halètent de peur. Ils suintent la fin proche. Ils suicident ce qui leur sert de chef, une couronne transpercée d’un couteau. La fin est spectaculaire. C’est presque un au revoir. Tant de spectacle en fait. Que n’auront-ils pas été plus grands!

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