Je suis fière des français

Quand je vois les convois de la liberté monter sur Bruxelles, je suis fière de ces français-là qui prennent sur leur temps, leurs économies, jonglant parfois avec leur travail, leur famille pour arriver à participer à cette route vers la liberté. Ce qui leur est imposé avec les pass sanitaires est insupportable. L’état de l’économie n’est pas clair encore, mais les années à venir vont être difficiles pour tout ceux qui se trouvent aujourd’hui exposés à la dette, aux banques, aux rapaces, à la férocité de cette finance criminelle qui a conduit à ce désastre-là. Parce que c’est ça la mondialisation. Ce n’est pas la paix comme les politiques voudraient le faire croire. C’est la soumission, l’esclavage, l’appauvrissement, la liberté conditionnée, rare et fragile.

Le plus grand danger serait de ne plus pouvoir se souvenir ce qu’est un pays libre, ce qu’est un homme libre, ne plus pouvoir le raconter aux enfants, les éduquer dans cette liberté qui tout les jours demande le courage de résister aux assaults dominateurs et impérialistes d’une poignée de psychopathes. Ils tuent les libertés, celles d’entreprendre, de circuler, de dialoguer, de faire société. Ils tuent le droit d’échanger des idées, de penser, de philosopher, mais ils ne tuent pas tout, et les résistants savent s’adapter. Je suis de tout coeur avec cette France courageuse qui a pris la route vers Bruxelles et je vous souhaite bonne chance. Il faut gagner. Il faut retrouver la souveraineté de la France de vivre en hommes et en femmes libres.

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