Putin souhaite une bonne santé à Biden

Après le coronavirus, les USA pouvait difficilement se trouver en pire situation qu’avec Biden, gâteux, et laissant plus de 55% des américains dans le vide abyssal de ses programmes. Une partie se régale du plan longtemps préparé du chaos. Stocks, économies, investissements massifs dans l’immobilier résidentiel de luxe, avant que tout cela n’arrive. Les riches ne sont pas touchés par la crise et encore moins les sanctions. Là, juste maintenant, c’est jeux sans frontières.

Tout l’été l’année dernière, je les ai vu se rassembler digérant mal la victoire de Biden, et là, grand silence, quelques barbecues, mais en catimini. Je pense qu’ils attendent la chute en se disant que d’en bas, ils ne peuvent que remonter. Et plus ça dure, plus c’est insupportable pour les américains qui voient leur président vieillir encore plus et bafouiller. Entre le clan Clinton, Nancy Pelosi et Biden, c’est le club gériatrique. Kamala Haris, le nez pincé, la bouche en coeur et les dents serrées semble complètement intégrée au club. Tant que Biden trottine et bafouille deux trois mots, ça dure, et ça dure, il a la santé. Les républicains sont au jardin comme dans un bunker. Ca dure, et ça dure, et ils attendent.

Je me souviens lors d’un brunch avec une voisine démocrate, elle me disait qu’elle espérait que Trump meure de mort naturelle, que personne ne vienne à excuser quoi que ce soit s’il était tué. Je crois qu’avec Biden, la tendance est un peu la même. Ceux qui souffrent sont en fait des démocrates. Les autres ont déjà tout prévu pour geler l’économie.

The thing is, comme on dit par ici, c’est qu’une guerre nucléaire pourrait éclater sur le territoire Européen juste parce que la politique aux USA est tendue et divisée sur bien d’autres choses que Biden et que l’état de santé du président, peut vite derrapper en arguments qui ne le tueront peut-être pas lui, mais que des militaires américains pourraient utiliser pour justifier les erreurs capables de mettre Biden dehors. Et le nucléaire peut malheureusement servir d’argument. Un argument suffisamment terrible pour qu’aucun démocrate ne soit réélu.

Les américains ne sont pas terrifiés, cela ne se joue pas sur leur territoire, mais je pense que les Européens doivent être très, très, très prudents.

Et ça continue.

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