Quand la FED sonne le glas

Il y a une chose qui me surprend tous les jours, c’est la manière dont les gens autour de moi sont dociles à la bêtise, comment ils se plient à des règles dont ils ne connaissent rien, pour lesquelles ils ne maîtrisent rien, mais dans l’illusion qu’ils contrôlent quelque chose. Je crois que le terme “asyle politique” est tout à fait approprié. Il fallait passer par là pour voir et constater de mes propres yeux toutes cette folie. Je crois qu’on me l’aurait dit, je ne l’aurais pas cru. D’ailleurs, des gens m’avaient bien mise en garde avant de partir, mais je ne les croyais pas. Je pensais qu’ils exagéraient les choses. Et bien non. L’Amérique va très mal à commencer par les américains et je crois que la meilleure façon de résumer cela, c’est une citation de Wikipedia au sujet de Jerome Powell:

Powell’s expansion of credit through repo contracts, seen as a new “Greenspan put,” created large profits for Wall Street investment banks. In June 2020, Jim Grant likened Powell’s policy to drug dealing, calling him “the Fed’s Dr. Feelgood.” In a September 2020 testimony, Powell said: “Our actions were in no way an attempt to relieve pain on Wall Street”. By the end of 2020, Wall Street investment banks recorded their best year in history, and Bloomberg called 2020, “.. a great year for Wall Street, but a bear market for Humans“. Mohamed A. El-Erian called Powell “a follower, not a leader”, of markets.

Traduction:L’expansion du crédit par Powell par le biais de contrats de mise en pension, considérée comme une nouvelle “option de vente Greenspan”, a créé d’importants bénéfices pour les banques d’investissement de Wall Street. En juin 2020, Jim Grant a comparé la politique de Powell au trafic de drogue, l’appelant «le Dr Feelgood de la Fed». Dans un témoignage de septembre 2020, Powell a déclaré: “Nos actions n’étaient en aucun cas une tentative de soulager la douleur à Wall Street”. À la fin de 2020, les banques d’investissement de Wall Street ont enregistré leur meilleure année de l’histoire, et Bloomberg a qualifié 2020 de “… une grande année pour Wall Street, mais un marché baissier pour les humains”. Mohamed A. El-Erian a qualifié Powell de “suiveur, pas de leader”, des marchés.

Mon professeur de parachutisme avait l’habitude de dire qu’il fallait prendre soin de ses pieds, parce quand on a mal aux pieds, on ne peut plus réfléchir. Avec la république en marche, c’est peut-être pas le pieds, mais je vois un commun dénominateur entre Macron et Jerome Powell, tous deux ont étudié chez les jésuites. Par ailleurs, le pape est un jésuite et à peine Biden devenu président, il est allé au Vatican comme Macron à sa suite et c’est une église tenue par les Jésuites qui a réhabilité Biden pour recevoir l’eucharistie.

Hier je parlais de BlackRock, et des liens du fondateur de BlackRock avec la Kappa Beta Phi Society, mais ce que l’on voit au travers de BlackRock, ou de Kappa Beta Phi, c’est peut-être une guerre de pouvoirs entre les catholiques et les protestants. Jerome Powell contrôle la FED avec une main sur la Maison Blanche, l’autre sur Wall Street. BlackRock est la société de secours qui vient après le crash pour apporter des solutions avec son software Aladdin. Au milieu, il y a les élites qu’il faut gouverner, c’est à dire influencer et lorsque les élites sont correctement influencées, le peuple suit via les Instagram, les Facebook, les médias publics et bien entendu, Hollywood. Mais le peuple suit quoi si ce n’est une interprétation de Dieu pour conduire les peuples dans une direction ou dans une autre. J’ai trouvé la vidéo suivante sur les Jésuites. Je n’en ai pas vérifié les fondements, mais je pense qu’il y a là suffisamment d’information pour commencer une enquête sur le sujet.

Dans la vidéo, il est mentionné le terme de “pape noir” en référence au général, ou plus exactement au “Supérieur général de la Compagnie de Jésus“. Ce pape noir est par contraste avec le pape blanc, l’homme de l’ombre et qu’on ne s’y trompe pas, il n’est ni juif, ni protestant, mais un catholique élu à vie. Le dernier à occuper le poste depuis octobre 2016 est Arturo Sosa, un pape de l’ombre vénézuélien, c’est à dire un homme issu d’un monde colonial voué à conduire une marche forcée vers le prosélytisme sur les foules.

Dans les symboles du Vatican, il est difficile de ne pas voir les deux clefs qui ramènent à Phi Beta Kappa et Kappa Beta Phi, Macron et Ruffin, deux hommes par qui les Jésuites espionnent les trous de serrure de la république en chaos, mais ce qu’il faut voir aussi, c’est que le pape blanc est jésuite, lui aussi d’Amérique du Sud. Il faut voir le fanatisme des église sud américaine de Los Angeles, les crucifixions en plein air, l’obscurantisme, la noirceur réelle de cette chose là pour se rendre compte qu’il y a bien un danger.

Ces gens là, une chose est sûre et je l’ai appris avec le temps, ils n’ont pas peur de paraître pour des méchants. Bien au contraire, c’est le mythe du caïd, pas besoin de tapper des points pour faire peur aux foules parce que s’ils avaient à tapper du point justement, les morts sortiraient de leurs tombes pour venir leur rendre les coups. Ils cultivent le mythe comme une armure puis ils disent que c’est pas eux. Je vois aussi en France ce qui s’est passé en 2020 aux USA, des protestations pour délégitimiser la police, déstabiliser le pouvoir et permettre les zones sombres de se créer. Avec les gilets jaunes, Macron et les députés n’ont jamais rien eu à craindre. Ceux qui avaient à craindre étaient les commerçants, les bourgeois, les personnes de la sphère privée qui habitent les beaux quartiers, la crème de l’élite qui peut s’offrir ces appartements. Eux avaient à craindre que la colère du peuple enfonce les portes du privé pour venir les cueillir chez eux. Tout le reste est propagande.

Le dessein de tout cela tel que je peux le voir à Los Angeles, c’est la frénésie du pouvoir et au sommet de toutes les économies du monde, il y a la FED juste en dessous de celle du Vatican. Un pouvoir qui ne rechigne sur aucune hypocrisie, aucun mensonge, aucun crime non plus parce que le pouvoir est une question de survie pour eux, dans le sillage de l’Empire Romain, un empire tout dédié au commerce et aux armes pour lequel la religion est venue légiférer. Le monde d’aujourd’hui est devenu semblable à celui du Moyen-Age avec cependant une question. Quel avenir?

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